Note publique d'information : Cette thèse est un travail de recherche sur l'évolution de 4 variables de la dynamique
familiale (taux brut de nuptialité, taux brut de divortialité, taux brut de natalité,
proportion de naissances illégitimes) dans le cadre d'une comparaison internationale
en Europe du nord-ouest (Belgique, Luxembourg, pays-bas,r.f.a. Et ex-r.d.a.) De 1980
a 1990. En 11 ans, les dynamiques familiales se sont profondément modifiées. En 1980,
elles évoluaient résolument dans des cadres nationaux ou plurinationaux: dans le cas
du Benelux : et les facteurs expliquant leurs disparités étaient surtout d'ordre socio-économique.
En 1990, on observe une réelle "intégration européenne" des dynamiques familiales
dans les 4 pays de la communauté. De même, les facteurs les plus discriminants ont
changé et il apparaît que les dynamiques familiales sont plutôt influencées par des
facteurs d'ordre culturel et politique associes a l'importance spatiale du processus
de tertiairisation de la société. En r.d.a. Une situation très complexe voie le jour
dans la seconde moitié de la décennie à cause de l'ampleur de la crise sociale qui
frappe le pays et de sa diffusion du sud vers le nord soit des régions fortement industrialisées
vers celles plus rurales. Au cours des années 80, sont observés des changements de
tendances de l'évolution de 3 des 4 variables de la dynamique familiale (natalité,
nuptialité et divortialité) mais aussi une stabilisation de la chute de la taille
moyenne des ménages. Cette double constatation a permis de définir une "seconde transition
familiale" qui consiste en la constestation du modèle familial dominant : la famille
nucléaire et en l'apparition de nouveaux types de famille a cote de ce modèle; ce
sont les familles de cohabitants (unions consensuelles), les familles monoparentales
et les familles recomposées.
Note publique d'information : This thesis is a research over the changes of 4 indicators of family dynamics (crude
mariage rate, crude divorce rate, crude birth rate and ratio of illegitimate births)
within an international comparison (belgium, luxembourg, the netherlands, federal
republic of germany and ex-german democratic republic) from 1980 to 1990. During 11
years, spatial contrasts of familiy dynamics have changed a lot. In 1980, they was
characterized by a national or plurinational, for benelux countries, organisation.
In 1990 it is realy different and a real "european integration" can be shown. Meanwhile,
an important modification of family dynamics factors can be shown too. Itwould mean
that socio-economic factors are losing importance in favour of cultural and politic
factors. But, in realy, it must not be forgetted, those last factors are associated
with the importance of the spatial process of developpment of tertiary activities.
In the g.d.r. Patterns were really different because the social and economic crisis
has setted up an original process of spatial diffusion. Concretly, the dicline of
some indicators has begun in the south of the country and was after diffusing till
the north; it means from industrial regionsq to more rural regions. For 11 years,
changesof trends of 3 indicators of family can be observed -cude mariage rate, crude
births rate abd crude divorces rate- simultaneously, a stabilization of the mean houshold's
size came into sight. Through those two establishments, it has been possible to define
the notion of "#second familial transition". The question is to the contest of the
prevailing family model -nuclear family- by other more and more important models -
consensual unions, one-parent families and reconstituted families-.