Identifiant pérenne de la notice : 246016744
Notice de type
Notice de regroupement
Note publique d'information : DANS LES CELLULES MCF-1 TRANSFECTEES STABLEMENT PAR UN PLASMIDE D'EXPRESSION CODANT
POUR LA LUCIFERASE DE LUCIOLE SOUS CONTROLE STROGENIQUE, CETTE REPONSE ARTIFICIELLE
REFLETE FIDELEMENT UNE REPONSE STROGENIQUE NATURELLE. L'ACIDE RETINOIQUE (AR) ET LA
1,25-DIHYDROXY-VITAMINE D3 (VD3), INHIBENT CETTE REPONSE ARTIFICIELLE D'UNE FACON
DEPENDANTE DE LA DOSE. ILS INHIBENT EGALEMENT LA PROLIFERATION STROGENO-DEPENDANTE
DES CELLULES MCF-7 ET LA TRANSCRIPTION DANS CES MEMES CELLULES DE GENES STROGENO-REGULES.
LEURS EFFETS INHIBITEURS ET ANTIPROLIFERATIFS SONT SYNERGIQUES DE L'EFFET ANTISTROGENIQUE
DE L'HYDROXYTAMOXIFENE, UN ANTISTROGENE CLASSIQUE. L'ETUDE D'INTERATIONS PROTEINE/ADN
A MONTRE QUE CES EFFETS SONT DUS A L'INHIBITION DE LA LIAISON DU RECEPTEUR DES STROGENES
(ER) AUX ELEMENTS DE REPONSES AUX STROGENES (ERE), SUR LES GENES ETUDIES. PAR TRANSFECTION
TRANSITOIRE DANS LES CELLULES MCF-7 DE GENES CODANT POUR ER NATUREL OU CHIMERIQUE,
NOUS AVONS MONTRE QUE LE MECANISME D'ACTION DE AR ET VD3 DIFFERE PAR LA CIBLE MOLECULAIRE
RESPONSABLE DE LEURS EFFETS: VD3 SEMBLE AGIR VIA ER, LA PROTEINE ACTIVE EN TRANS SUR
LA TRANSCRIPTION, AR SEMBLE AGIR AU NIVEAU DU ERE, UNE SEQUENCE ACTIVE EN CIS SUR
LE GENE