Sous cette vedette, on trouve les ouvrages sur les causes criminelles qui, normalement
de la compétence des justices seigneuriales, étaient réservées aux juges royaux parce
que les droits du roi y étaient engagés ; d'abord limités aux crimes les plus importants,
les cas royaux se multiplièrent avec l'affirmation des prérogatives royales et la
réorganisation des tribunaux royaux, à partir du 14e siècle en France